Oui moi aussi, ca calme mon anxiété, en même temps c est fais pour... Mais j en prend que par moment donc pour l instant ça m aide j essaye de modérer le plus possible, mais pareil, toujours une plaquette d avance !!
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A propos de la musique - JAR
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Envoyé par Injy Voir le message
Ah ben je trouve t as bien raison
Moi aussi ca me fait rien enfin il m en faut beaucoup alors je fais des stock au cas ou
Si je tombe sur une préparatice ca va , si je tombe sur la patronne ca va pas .
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Invité
Envoyé par Popeye Voir le message
ben je fais un peu comme toi . J'en prends pas pour pouvoir en prendre plus qu'en j'en ai besoin . Mais à la pharmacie , impossible de tricher , ils ont les comptes .
Si je tombe sur une préparatice ca va , si je tombe sur la patronne ca va pas .
Mais j en prends pas pendant un moment des fois pour avoir du stock comme toi au cas ou
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Invité
Jadis, avec Pierre et Gladys
On les voyait passer en robe blanche
Au ruisseau qui traînait nos rêves
Vers un écrin de joie
Nous suivions la trace des fées
C'était au mois de mai
Vole, blonde tête folle
On les voyait quitter leur robe blanche
Un torrent de cheveux dorés
Léchait nos yeux de soie
Nous étions sur la trace des fées
C'était au mois de mai
J'étais le prince sans carrosse
Ma muse pleurait aux étoiles
Puis je redevins le chien
Jadis, cachées sous les fleurs de lys
On les voyait flâner en robe blanche
Au pays où la bise enlace les gens aux mille pleurs
Nous suivions la trace des fées
C'était au mois de mai
Vole, vole, blonde nymphe folle
On les entendait rire en robe blanche
Et le gazon du parc s'imbibait à nos pieds d'enfant
Nous étions sur la trace des fées
C'était au mois de mai
https://youtu.be/x7dGswpN1YU
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Lettre à Tierset,
et à ces ou ses merveilleux nuages…
Tu as été un des seuls, Tierset, à ne jamais me juger, à toujours essayer de comprendre l’incompréhensible. Je sais que tu ne postes que sur le JAR, mais pour des raisons personnelles, je ne posterais plus sur le JAR. Uniquement sur le JAR musique. J’éponge mon cœur qui saigne encore avec de la pluie d’harmonie.
Et chacun sait que la pluie n’est pas une éponge.
Ces merveilleux nuages …
https://youtu.be/x9DejWMJoOA
Fragile lumière d’Opale - Daniel25
« Ce matin, peu avant l’aube , j’ai reçu de Marie23 le message suivant :
@. @ Les membranes alourdies , de nos demi-réveils, ont le charme assourdi des journées sans soleil.
399, 2347, 3268, 3846. Sur l’écran s’afficha l’image d’un immense living-room aux murs blancs, meublés de divan bas de cuirs blancs ; la moquette elle aussi était blanche ».
( a suivre) ….Dernière modification par Aladin, 30 juillet 2022, 13h58.
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Daniel25.
Barbara - Gottingen.
https://youtu.be/g0xLzaLBAts
Je suis née en Allemagne. Et, je reste toujours quelque part amoureuse de l’Allemagne.
C’est difficile d’écrire Daniel25, néanmoins, vingt-cinq tieme génération après Daniel1.
PS de traduire Daniel25.
Barbara le décrit mieux que moi.Dernière modification par Aladin, 04 août 2022, 13h19.
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Pour mon immense ami, Fred, dit ici [email protected]
Bien que plus jeune en âge que moi, il m’a appris tellement de vérités.
Je ne dirai plus rien.
Je laisserai la parole à Daniel ….
Aux Daniels …
https://youtu.be/zFwaRmpzvjo
En enfance, j’ai vécu la blessure de la haine vis à vis des Allemands. Bien sûr. C’est normal.
J’en ai encore la cicatrice,
https://youtu.be/ttw1KeiF9mA
Attention toutefois : ces chansons de Goldman ne concernent pas Fred. L’une, mon ex mari, l’autre, mon père.Dernière modification par Aladin, 04 août 2022, 23h48.
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Envoyé par Aladin Voir le messageDaniel25.
Barbara - Gottingen.
https://youtu.be/g0xLzaLBAts
Je suis née en Allemagne. Et, je reste toujours quelque part amoureuse de l’Allemagne.
C’est difficile d’écrire Daniel25, néanmoins, vingt-cinq tieme génération après Daniel1.
PS de traduire Daniel25.
Barbara le décrit mieux que moi.
Fragile lumière d’Opale - Daniel25
« Par la baie vitrée, on apercevait les tours du Chrysler Building - j’avais déjà eu l’occasion de les voir sur une ancienne reproduction. Au bout de quelques secondes, une néo humaine assez jeune, de vingt cinq ans tout au plus, entra dans le champ de la caméra pour venir se placer face à l’objectif. Sa chevelure et sa toison pubienne était bouclées, fournies et noires ; son corps harmonieux aux hanches larges, aux seins ronds, dégageait une grande impression de solidité et d’énergie ; physiquement, elle ressemblait assez à ce que j’avais pu imaginer. Un message défila rapidement, se superposant à l’image :
Et la mer qui m’étouffe, et le sable,
La procession des instants qui se succèdent
Comme des oiseaux qui planent doucement sur New York,
Comme de grands oiseaux au vol inexorable.
Allons, il est grand temps de briser la coquille
Et d’aller au devant de la mer qui scintille
Sur de nouveaux chemins que nos pas reconnaissent
Que nous suivrons ensemble, incertains de faiblesse.
L’existence de défections chez les néo-humains n’est pas absolument un secret ; même si le sujet n’est jamais réellement abordé, certaines allusions, certaines rumeurs, ont pu ça et là se faire jour. Aucune mesure n’est prise à l’encontre des déserteurs , rien n’est fait pour retrouver leur trace ; la station qu’ils occupaient est simplement et définitivement refermée par une équipe en provenance de la cité centrale ; la lignée qu’il représentaient est déclarée éteinte. » ……
(a suivre)
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Envoyé par Aladin Voir le messageSalut,
Aujourd’hui, dix-huit jours d’abstinence au compteur ….. Malgré tout, des envies très fortes, surtout avec cette chaleur. Réminiscence de bière glacée à l’ombre d’une fraîche terrasse. Je n’en suis, hélas encore, qu’au côté physique de l’intoxication.
« Ma vie, ma vie, ma très ancienne
Mon premier vœu mal refermé
Mon premier amour infirmé,
Il a fallu que tu reviennes.
*** Il a fallu que je connaisse
*** ce que la vie a de meilleur,
*** quand deux corps jouent de leur bonheur
*** et sans fin s’unissent et renaissent.
*** * Entré en dépendance entière
*** * je sais le tremblement de l’Etre
*** * l’hésitation à disparaître,
*** * le soleil qui frappe en lisière
*** *** Et l’amour où tout est facile,
*** *** où tout est donné dans l’instant;
*** *** il existe au milieu du temps
*** *** *** *** La possibilité d’une île ».
(Michel Houellebecq - La possibilité d’une île).
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